mardi 31 juillet 2007

Quand on part à la mer

Jeudi dernier, j'ai oublié de vous raconter, je suis allée essayer des produits Kenzoki dans un endroit appelé ChezKi. Si vous avez l'occasion (les prochains rendez-vous sont en septembre), allez-y.

C'est un endroit très frais, très zen, très doux. Et les produits... Je suis déjà en amour avec la crème de riz qui sent divinement bon. (Comment? trop de superlatifs déjà?). Et les produits au lotus sentent vraiment très bon aussi. Mais il n'y a pas que le parfum dans leurs produits. Ils sont aussi très hydratants, ce qui est un bon point pour les peaux sèches, et légers. Et ils ne collent pas. Et toute leur gamme (4 types différents : au lotus, au riz, au gingembre, au bambou) s'adapte aux différents types de peaux.

Et donc, ChezKi, on peut essayer tout ça. Dans une pièce toute douce donc, faite pour des femmes, dans une ambiance zen. Le comité est assez réduit, les hôtesses sont charmantes. On a droit à des petits gâteaux. Et si en plus on est accompagnée d'une amie, ça peut être l'occasion de rire un peu aussi des différents tests! Et à la fin on repart toute contente et légère le sac plein d'échantillons. C'est bien d'avoir plein d'achantillons d'ailleurs, parce que Kenzoki, même si c'est vraiment bien, c'est aussi vraiment cher, et je ne sais quand je vais me l'acheter moi, ma crème qui fait belle.

Et puis la mer. Je pars à la mer pour 3 jours, c'est pour ça que je voulais faire un petit billet avant de partir. Parce que ChezKi, ça m'avait plu, et c'est un bon filon pour les filles qui veulent faire des essais de produits de beauté gratuits. Ah oui, il faudrait peut-être que je précise d'ailleurs, si vous voulez prendre rendez-vous pour essayer les produits, cliquez sur le lien plus haut, vous pouvez venir accompagnée d'une amie.

Alors je vous souhaite une bonne fin de semaine, et pour vous faire patienter jusqu'au prochain billet, une petite photo à la Tour du Tambour, qui est directement dans l'axe de la Cité Interdite, et qui servait à sonner les heures à Pékin.


Ne vous moquez pas de la pose... Je la trouve rigolote. Et la suite des aventures à Pékin arrivera vite, de toute façon, j'ai l'impression qu'il faudra que j'attende encore un moment pour les photos.

samedi 28 juillet 2007

Quand on n'a rien à faire

Surtout vu l'heure qu'il est, je devrais dormir, mais non! Regardez mon moi Simpson...



(je vais pas le laisser longtemps parce que je sens que ça va me fatiguer vite fait... après je mettrai peut être une petite vignette pour le principe!)

Quand on prend du retard

J'ai des idées, des choses à écrire tous les jours, et pourtant, chose frustrante, je ne le fais pas. Mais là. Bon. On y va. Parce que depuis que je suis rentrée j'ai vu, lu fait des choses, dont j'aimerais vous parler.

Pour ce soir, ça sera The Bubble. Un film que j'ai vu la semaine dernière et qui était vraiment vraiment bien.


C'est sûr que ça ne vous avance pas beaucoup. Et le fait que j'ai vraiment vraiment aimé n'est pas forcément un gage de qualité puisque j'aime aussi beaucoup La Mélodie du Bonheur.

Cependant c'est un film qui mérite d'être vu. Parce qu'il est complètement immergé dans notre époque, qu'il reflète la vie réelle des jeunes de Tel-Aviv aujourd'hui. Parce que, oui, c'est un film qui parle de jeunes (Lulu, Toam, Yali) qui vivent à Tel-Aviv, en colocation. Un jour débarque Ashraf, un Palestinien dont Toam tombe amoureux. A travers ces histoires d'amour, d'amitié, de fêtes, raves, d'idéal de paix, une réalité se dessine doucement. Celle de la guerre qui est présente, mais semble lointaine, celle de ces jeunes Israéliens qui ferment les yeux, se bouchent les oreilles, et sortent, sortent pour oublier. Celle de ces Palestiniens qui ne sont qu'à quelques heures d'une liberté à laquelle ils n'ont pas le droit de goûter. Celle de ces deux peuples qui ne s'entendront sans doute jamais parce que pour un mort, ils rendent un mort (ou meme plus).

Tout cela avec la légèreté d'une bulle de savon, sans le sucré. Bon. En fait non. Pas une bulle de savon. Au début, certes. Mais prenez un paquet de mouchoirs au cas où. Parce que, même si ça parle d'amour, d'amitié, de sexe, ça ne parle pas que de ça.

Et un argument pour les filles : il y a des jolis garçons.

Et un argument pour les garçons : il y a une (très) jolie fille.

Et en plus... La musique est très bien aussi.

samedi 21 juillet 2007

Des photos quand même

Un peu, pour vous montrer comme c'était beau.


Au temple du Ciel, un petit garçon qui semble perdu.



Le temple du Ciel donc, temple unique, et rond.



Une des portes du temple.



Une de mes photos préférées. Le temple semble presque irréel. Évanescent.



Enfin, un des temples du palais d'été. Trois bonshommes qui représentent "fortune, salary..." et le dernier... Je ne me rappelle plus. A retrouver.

Voilà pour l'instant. Peut être une rigolote que j'ai mais que je n'ai pas osée mettre cette fois-ci, que je mettrai la prochaine fois. Et vivement que je reçoive mes CD (mais qu'est ce qu'elle fabrique???) pour pouvoir vous en montrer plus!

AAAAAAAHHHHHH

Je LE tiens dans mes mains!

vendredi 20 juillet 2007

Le truc qui fait le plus de bien quand on rentre de 12 heures de boulot...

... C'est de se détacher les cheveux! C'est dur de devoir avoir l'air sérieuse. Surtout quand on a été habituée à avoir une certaine liberté vestimentaire. Et le tailleur noir, eh bien, c'est plus dur que de porter les cheveux attachés!

dimanche 15 juillet 2007

Et que je vous dise pourquoi j'ai été si longue


Il y a la paresse. Certes. Pour une très grande partie même. Mais pour le reste, il y a le fait que j'aime bien laisser les souvenirs retomber un peu. Décanter. On perd peut-être un peu de "réel" au change, mais j'aime quand l'imagination d'en mêle qu'elle brode, qu'on se fait son propre téléphone arabe. A imaginer les choses plus grandes, plus colorées. Les Chinois plus nombreux, encore plus fous sur les routes. Comme si on épurait le souvenir, pour n'en garder que l'essence.

(Vous pouvez admirer mes beaux ongles peints en Chine, que je n'ai pas cessé de regarder. Et, ça me fend le coeur, mais aujourd'hui ils sont vraiment trop abîmés, je dois les enlever)

Les voyages forment la jeunesse paraît-il (1ere partie)

Et celui-ci n'a pas dérogé à la règle... Ces deux semaines à Pékin ont été vraiment enrichissantes, déroutantes, parfois fatigantes, souvent amusantes. Et tellement riches d'anecdotes (vous savez à quel point j'aime ça, les anecdotes) que je ne sais pas par où commencer. D'ailleurs, au risque d'en décevoir certain(e)s, ce post sera un post sans photos.

Ce n'est pas que je ne veuille pas, bien au contraire. Mais la chronologie des évènements et ce qu'il reste dans mon appareil photo ne sont pas compatibles. Parce que j'ai vidé mon appareil une fois, et on a fait des CD. Et voilà. Je n'ai pas les CD. Et comme je vais vous parler du temple des lamas et du temple de Confucius, je ne vais pas vous mettre des photos de la Cité Interdite. C'est logique non ?

Mais commençons par le commencement. Il y a une chose que j'aime beaucoup dans les voyages, ce sont... les voyages. Avec ça on va aller loin vous direz-vous. Mais c'est vrai. Je veux dire, les transports, la sensation d'être transbahutée, et encore plus quand la fatigue vient à s'en mêler. Et quand on fait une escale à Dubaï sur le chemin de Pékin, on subit son premier choc des cultures, avant même d'être arrivée à destination. En fait non, la première surprise a été dans l'avion, le premier donc.

(ouh la la, au rythme où je vais il va me falloir 15 posts au moins pour raconter mes vacances... mais que voulez vous, j'aime prendre mon temps)

L'avion. La compagnie Emirates. Je ne sais pas si vous connaissez, mais c'est très classe. Télé individuelle avec des films au choix même en classe éco, des repas pas si dégueu que ça (bon, c'est pas non plus exceptionnel, on reste dans un avion), et, ô joie, un peu de place pour ses jambes. Bref, pour moi qui ai un peu pris l'avion (pas trop souvent non plus parce que c'est cher), Emirates, c'est classe. Et personne qui ronfle non plus... le luxe! Bon, je clos le chapitre sur l'avion, on a eu à peu près le même en un peu moins bien les 3 autres fois.

Mais Dubaï. Un aéroport luxueux. Des gens très riches. D'autres moins. Des hommes habillés en grande tunique blanche. Et aussi des hommes avec cette fameuse coiffe sur la tête. Vous savez, un peu comme le truc de Yasser Arafat, les deux boudins qui retiennent un foulard blanc? Bon, c'est très mal expliqué, mais vous vous faites une idée, n'est-ce pas? Et ces femmes, parées de foulards brillants, ou recouvertes de voiles noirs, parfois laissant un trou si mince qu'on se demande si elles ont un visage. Mais ce qui nous a le plus frappées : ces gens qui dorment par terre. Non, pas par terre comme dans la rue chez nous. Par terre avec un drap, parfois même un petit matelas. Les hommes avec les hommes, les femmes avec les femmes. Et, en passant, déjà ce sentiment d'être regardée parce que blonde (ou sans voile?). Et une mosquée aussi. Comme ça on peut aller prier dans l'aéroport.

Et cette attente en ayant le sentiment (qui était sans doute justifié) d'être dans un autre monde.

Puis le deuxième avion et l'arrivée à l'aéroport de Pékin, le premier contact avec les Chinois qui conduisent comme des fous par le biais du taxi qui nous a emmenées à bon port... Mais ça, c'est déjà une autre histoire.

samedi 14 juillet 2007

Vous ne vous y attendez pas...


... mais môa je sais conduire un Traffic Messieurs Dames!

dimanche 8 juillet 2007

Je suis rentrée...

...et je suis fatiguéééééééééée!