lundi 23 février 2009

Copieuse de tag

Je l'ai piqué chez Mashenka, et je trouve ça beaucoup plus sympa que de vous parler de mon angine qui me fait teeeeellement mal et qui m'a forcée à partir plus tôt du boulot pour aller chez le médecin. D'ailleurs, et c'est vraiment très intéressant, c'est la première fois qu'on me remet sous antibiotiques depuis... je sais même plus quand. J'espère que du coup je suis un corps favorable à leur action !...

Il faut donc répondre aux questions avec des mots qui commencent par la première lettre de votre prénom. Si ce tag vous tente, servez-vous !

1. Mon prénom : Léa, aucun lien avec Banancosmic, d'ailleurs, je plains la vraie fille qui s'appellerait Banane, même si j'adore mon surnom !

2. Un mot de 4 lettres : Loir

3. Un prénom masculin : Léo, en hommage à ce petit garçon qui voulait se marier avec moi rien que parce que je m'appelle Léa, il était trop mignon, mais il doit avoir bien grandi depuis

4. Un prénom féminin : Lola

5. Un passe-temps : lire (trop facile)

6. Une couleur : lilas

7. Quelque chose que je porte : des lunettes (utilisation intensive e ce moment)

8. Un aliment : du lait... ma base ^___^

9. Quelque chose que l'on trouve dans ma salle de bain : du lait démaquillant

10. Un lieu : un lac ?

11. Une raison pour un retard : mmmm y'en a plein, mais en "l" ?... Un "loupage de métro" ?

12. Quelque chose que je crie : heu, je crie pas ^__^;

13. Le titre d'un film : Lilo et Stitch

14. Quelque chose que je bois : de la limonade (avec de sirop de violette si possible)

15. Un groupe de musique : The Libertines (ça fait longtemps que j'ai pas écouté d'ailleurs...)

16. Un animal : un loup

17. Le nom d'une rue : la rue de Lappe

18. Une marque de voiture : Lancia (c'est bien une marque hein ? pas un modèle ?)

19. Le titre d'une chanson : Lilly (de Pink Martini, j'adore cette chanson)

20. Un verbe : légumer, ce que je ne vais pas tarder à faire... 


Bonne nuit à tous ! (oui je sais qu'il est 21h30, mais j'ai des consignes de mon médecin)

samedi 21 février 2009

Anecdote du soir

Ca fait environ six heures que je suis rentrée sur Paris. Pour le week-end. 

Profitant d'être là et de n'avoir rien de prévu ce soir, je vais voir L'Etrange Histoire de Benjamin Button au cinéma. Je passe un très bon moment, et je rentre.

Sur mon chemin, je passe par la "rue des putes" (nommée ainsi pour la raison qu'on suppose) et croise une dame qui travaille au coin de la rue, le coin en face de chez moi. Ca fait longtemps que je la connais, aussi longtemps que j'habite ici. C'est même la seule à qui je dis bonjour. 

Là je la trouve en grande parlotte avec un monsieur, dont je ne doute pas une seule seconde des intentions. En fait non, il cherche un endroit pour aller prendre un verre. Il n'est pas du coin. Il est Québécois en fait. Ah tiens ? Bon ceci dit, je n'ai fait aucune remarque. Il cherche aussi de la compagnie pour aller avec le verre, pour discuter. Comme il se trouve que cette dame travaille, elle ne peut pas bouger, ce serait donc... moi ? 

Non non non merci bien c'est gentil mais je dois me lever tôt demain matin, du boulot, tout ça...

N'empêche, j'ai trouvé ça assez drôle de tomber sur un Québécois, en bas de chez moi, qui me propose d'aller prendre un verre. Ceci dit, j'attire assez les conneries de ce genre pour m'arrêter là. 

Je suis donc rentrée, et hop, un billet là-dessus. Sur ce, je vais manger et... dodo. Bonne nuit !

dimanche 15 février 2009

Hopla

Strasbourg, une semaine. 
Se lever tôt et prendre le bus. Arriver à l'opéra et travailler. Se piquer sans arrêt. Voir ses mains qui commencent à ne plus ressembler à rien. Et de nouveau, cette satisfaction des choses qui avancent, une veste d'homme par-ci, une jupe par là...

Ce froid prenant. La neige. Les balades près de la cathédrale. Les tartes flambées, le shopping. 

Et ce vendredi soir... Un bon mojito, des tartes flambées, des jolies tenues... Et une virée en boîte. Une boite gay. Le rafiot. Danser et faire les folles, c'est le cas de le dire. Et me faire draguer par une fille pour la première fois de ma vie. "Tu es lesbienne ?" "Non." "Dommage."... 

Difficile d'expliquer ce que ça fait, ce n'est pas gênant, non, mais c'est direct, un peu abrupt, et de toute façon, sans conséquence aucune. Pareil quand on se fait draguer par un garçon qui vient d'embrasser un garçon juste avant. En fait c'est plutôt marrant. Et pour couronner le tout, sur le moment de partir, après avoir bien bougé nos fesses, un garçon vient me demander si j'ai une copine. Non. Parce qu'il a une amie qui est intéressée. Ah mais je suis hétéro. Bon tant pis. 

Du coup tout ça c'était assez drôle, et le samedi fut bien rempli aussi. Terminé en beauté par une soirée à l'opéra. Vous connaissez Nina Stemme ? Eh bien moi non plus. Mais c'était magique. Un récital où elle chantait Wagner, Grieg, Sibelius et Rachmaninov.  

Mon premier récital en fait. Je recommencerai. Et si je peux, accompagnée. Parce qu'un moment comme ça c'est magique, et ça serait chouette de le partager... 

Et mercredi je remets ça avec ce concert, par l'orchestre symphonique de Mulhouse. Vivent les invitations de l'opéra!

jeudi 12 février 2009

Première étape : franchie !

Le projet "Canada" est bel et bien lancé ! J'ai reçu un mail de l'ambassade du Canada qui me dit que mon dossier va passer dans les mains des gens des visas...

S'il vous plaît gens des visas, soyez gentils avec moi et mon dossier...

C'est tout pour aujourd'hui, des muffins au thé matcha m'attendent ! Miam !

mardi 10 février 2009

Ca a commencé

Un billet en prologue de mes aventures alsaciennes... 

Je vais faire court, parce qu'il est tard (eh oui il faut que je me lève à 6h45 le matin pour trouver 23h20 tard...). 

Strasbourg, c'est bien. Mais il y a du vent le matin. Ou alors il neigeotte. Certes, on connaît ça ailleurs, j'avais la même à Paris la semaine dernière. 

Il ne fait pas bon être maladroite quand on est costumière. Malheureusement pour moi, je suis les deux.

Bien au chaud sous la couette, il est temps de dormir. Mais pas avant d'avoir mis de la crème pour les mains.

samedi 7 février 2009

Blog en déplacement !

Demain matin (8h24, beaucoup trop tôt pour un dimanche), je pars à Strasbourg. Je pars retrouver cette cité que j'aime pour... Travailler ! Eh oui ! J'ai retrouvé du travail. A l'Opéra National du Rhin, s'il vous plaît.

Donc je vais continuer de raconter mes pérégrinations par ici, et je vous parlerai des spécimens locaux, je les aime bien les Alsaciens, ils sont marrants. 

Et, après mes vacances tout sauf diététiques, je vais essayer de faire un peu attention, mais ça va être encore plus dur qu'avant... Courage ! 

Ce soir

J'aime bien les concerts de Garciaphone. Par contre, je n'aime pas y arriver en  retard. Chose que j'ai faite ce soir, pas exprès, mais parce que quitter une répétition de théâtre comme ça n'est pas chose aisée. Surtout si on a plein de choses à se dire avec la metteur en scène.

Mais j'ai réussi à arriver à temps pour des chansons que j'aime beaucoup : Robinsons, Tornadoes, et une reprise de In the aeroplane over the sea, de Neutral Milk Hotel, une très très belle chanson. La plus belle du monde selon monsieur Garciaphone. Heureusement que j'ai pu les voir celles-là... 

Et après, Dana Boulé, une pile électrique aux chansons entraînantes venues droit de l'autre côté de l'Atlantique... 

Une chouette soirée, un peu trop courte !

vendredi 6 février 2009

Mon dieu !

J'ai vu la femme à barbe ! Pas juste le duvet non, une vraie barbe ! 

Ça fait bizarre...

Celle que je ne suis pas

Le titre du billet d'une demoiselle m'a fait pensé à une BD lue il y a quelque temps que j'avais beaucoup aimée : Celle que je ne suis pas, de Vanyda.

Une BD sur l'adolescence, le mal-être, les premiers sentiments amoureux, la place que l'on a et que l'on se fait dans son groupe d'amies... Un premier tome  très juste tout en délicatesse, sans démonstration. On s'y retrouve beaucoup avec la première boum (il n'y a pas de génération qui y échappe depuis les années 80...), ce sentiment de ne pas être à sa place dans un groupe aux copines exubérantes quand on est la fille effacée (enfin moi je l'ai très bien compris).

Bref, beaucoup de justesse, un style graphique proche du manga mais pas trop, on sent cette touche occidentale. Et l'auteure respecte bien les codes de la jeunesse d'aujourd'hui, tout en saisissant ce truc qui fait qu'un ado est un ado, quelle que soit l'époque... A suivre au prochain tome, qui paraît je ne sais pas quand. On m'a dit octobre à la fnac, puis après d'attendre, et le mois dernier, on m'a dit bientôt. Merci pour la précision.

Mais Aieeeeeeuh

Je casse tout. Même quand je ne touche pas les choses je les casse.

Hier. J'étais tranquillement assise à une table sur une terrasse (oui quelle idée en plein hiver, surtout, quelle idée d'être entourée de fumeurs...), quand le serveur nous apporte des verres (vides heureusement) pour l'eau. Il passe derrière moi, sans me toucher ni rien, et là, paf, le drame ! Ils tombent presque tous de son plateau et se cassent... Puis il se rapproche encore un peu, et les derniers de son plateau tombent aussi, dans mon dos, et se cassent, lamentablement. J'ai induit quoi là ?...

Et ce matin, je ne pensais même pas que ça pouvait être possible, j'ai cassé le couvercle de ma bouilloire. En plastique. Pfff. Marre.

mercredi 4 février 2009

Si on revenait à l'Alpe d'Huez?..

Toute la semaine dernière, nous étions, MaCocotte et moi (eh oui ce n'est plus vraiment une anonyme par ici) à l'Alpe d'Huez. 

Une semaine de vacances à la neige, l'air pur, au soleil... A peine arrivées nous étions déjà prêtes à nous rouler toutes nues dans cette étendue blanche toute fraîche. Je divague un peu je crois. Ceci dit, il venait à peine de neiger, et après une longue journée de route, toute réaction hors de proportions était assez logique.

Ce n'est que le lundi que nous avons commencé à skier. Eh ben, les retrouvailles avec les skis, ce n'était vraiment pas du gâteau. La première descente, la première remontée mécanique, la seconde descente, le premier tire-fesse... Et surtout, les premières douleurs musculaires aux cuisses et aux mollets. Le stress. Tout ça. Mais le plaisir de la montagne, la vue magnifique, les pique-niques, ça fait oublier les râlages contre les chaussures trop serrées, les chauffards qui descendent à toute vitesse et qui passent à 2 centimètres et demi de toi qui te demandes comment tu vas réussir à faire ce virage.

Et puis après ça, le billard. La première partie très laborieuse, les autres aussi d'ailleurs, mais avec ce sentiment de progresser. De très beaux points marqués. Et d'autres... Jamais marqués. 

Des apéros traditionnels bien fournis, mais pas trop alcoolisés. Des repas pas très équilibrés. Mais c'est pas très grave. 

La piste rouge pleine de bosses de la photo descendue, non sans mal, mais descendue. Avec une grande fierté arrivées en bas. Un peu sur les fesses pour quelqu'une dont je tairai le nom. En tout cas cette piste, à chaque fois qu'on la revoyait on se disait "on l'a faite". D'ailleurs on l'a faite qu'une fois. Faut pas pousser. Les bosses c'était pas pour nous. Les petites oui, mais là...

Et les garçons. On n'échappe pas aux garçons aux sports d'hiver il me semble. Heu, en vacances en fait. Mais cette fois-ci, ce fut épiquement drôle. De ceux qui se font des films au bout de 30 secondes de conversation avec toi. D'abord ceux du Club Med, des saisonniers. Dont un qui a émis deux des phrases cultes de notre florilège... A ma chère comparse (n'allez pas croire que c'est à moi qu'on dit ce genre de choses) : "T'es tentée hein ? Si, t'es tentée." (environ 10 fois dans la soirée) et le magnifique : "T'es pudique ? Mais pourtant t'es belle...". 

Puis le lendemain les Danois, appelons les par leurs vrais prénoms, Thwy (prononcez tchü comme dans atchü, la version anglaise de atchoum), Henrik et Brian (avec une tentative de "Where is Brian ?" qui a résonné comme un bide, l'humour danois n'étant pas l'humour français). Des tentatives d'apprendre le danois. Des mots écrits sur les bras... 

Enfin le dernier jour, en tête dans notre top 10 des garçons, deux beaufs, un billard où j'ai perdu dès le premier coup donné, un bar avec une ambiance bizarre de saisonniers, une super tartiflette, dans l'après-midi et dans le désordre un plongeon dans la piscine extérieure avec un sauna en suivant, et le clou, un mec qui m'a dit, à propos de mon boulot : "Il n'y a pas de sot métier, il n'y a que de sottes gens"... Arg. Et ma main dans ta figure ? 

Du coup, je vais vous faire partager ce florilège de phrases entendues, après tout, c'était drôle :
- Dans un télécabine : "J'ôte mes gants, non pas pour me curer le nez, mais, parce que j'ai chaud aux mains."
- Quelques instants plus tard, par le même : "Mais comment peut-on vivre après avoir pris une vie ?" (ok, hors-contexte, c'est pas drôle, mais justement, c'était hors-contexte aussi pour nous, d'où le fait que ça soit drôle)
- Par encore le même, mais la veille, en chantant : "Ah le saligaud, la la la la" (véridique les la la la la)
- Par des Anglais dans un jacuzzi : "Hey girls, do you want an after party ? We are naked !"
- Par un des deux beaufs : "Salut les miss monde !"
- Par un des Danois : "You're the shy medical girl." (là encore, ce n'était pas pour moi)
- Une phrase lue sur l'autoroute : "Maman, je t'aime, attache moi bien." (heu, sans commentaire je crois)

Et... Voilà, c'était long mais c'était court pour résumer ces vacances... Y'a plus qu'à y retourner !

lundi 2 février 2009

Premier billet depuis mon nouveau MacBook (yeah)

Pour inaugurer les billets depuis mon nouvel ordinateur trop chouette, j'aurais aimé vous parler de mes vacances épiques, mais j'ai l'impression que ça ne va pas être possible dans la minute.

Mon dentiste, qui a un sens de l'humour très particulier, m'avait fixé mon rendez-vous de ce matin avec une idée bien précise en tête, celle de m'arracher ma dent de sagesse... Moi, naïvement, je pensais qu'il allait juste regarder la radio et me fixer un rendez-vous pour... mars ? Avril ? Que nenni. On vous l'arrache alors ou non ? J'ai tenté tant bien que mal de négocier, mais ce fut peine perdue.

Et hop les piqûres dans la bouche, et hop la radio, et hop la dent en moins. En 25 minutes top chrono c'était réglé. Même pas mal, il avait raison.

Mais là... Je suis dans le gaz, j'ai un trou dans la bouche, et j'ai l'impression que la moitié droite de mon visage est morte... Pour la peine je vais aller faire la sieste.