vendredi 21 novembre 2008

Et un garçon de moins...

Le pauvre.
Plus qu'une petite semaine et il ne sera plus qu'un souvenir.
Plus qu'une petite semaine et il sera diminué.
Il n'aura pas eu autant l'occasion de courir après les filles qu'il l'aurait voulu.
Il ne repeuplera pas la planète. Ni la France. Ni rien du tout.

Dans une petite semaine, le seul mâle de chez mes parents (à part mon père qui va se sentir bien seul après) va se faire castrer.

Heureusement, il est trop jeune pour se rendre compte de ce qui va lui arriver.
Il ne regrettera rien !

mercredi 19 novembre 2008

La couture c'est vraiment trop facile !

A ce qu'il paraît, c'est vraiment trop facile de se faire des vêtements...

Link: Franz Kurzfilm



Ça me fait toujours doucement rire ce genre de méthode. D'où est-ce qu'il ne faut pas de connaissance quand le patron est coupé et que le vêtement est à monter? Déjà, il faut avoir une machine à coudre, savoir s'en servir, et puis, monter une manche, déjà quand on sait coudre, c'est chiant, alors quand on ne le sait pas...

Enfin, le petit accent du gars qui fait les commentaires m'aura bien fait rire !

mardi 18 novembre 2008

On circule!

C'est la chouette idée à faire circuler en ce moment :

Pénélope Bagieu, alias la fameuse Jolicoeur, est à l'initiative du site Mon beau sapin. En fait, il suffit d'aller y faire un tour, et à chaque nouveau visiteur (pas visite, c'est le visiteur qui compte, s'il se connecte 10 fois c'est pareil) des fonds seront versés par Orange à la Croix-Rouge pour offrir des cadeaux de Noël à des enfants qui n'en ont pas.

Alors, pour que ça soit un peu Noël avant l'heure (et puis de toute façon c'est déjà Noël non?), c'est par là!

vendredi 14 novembre 2008

Chanson du soir, bonsoir.

Ça faisait longtemps que je n'avais pas mis une chanson que j'aime bien ici.

En ce moment chez moi, c'est Pink Martini à fond les ballons!


Découvrez Pink Martini!


mercredi 12 novembre 2008

Et... un mercredi gourmand

C'est chouette de prévoir un goûter.

Aujourd'hui, on s'était dit, avec Siro, que ça serait sympa de se retrouver pour goûter, et puis faire du shopping de filles aussi tant qu'on y était.

Non en fait, l'histoire ce serait plutôt ça : comme le shopping c'est harassant, on a besoin de reprendre des forces avec un goûter.

Du coup, notre balade nous a d'abord menées dans la rue St Antoine, pour nous aiguiller après vers la boutique de Bird on the Wire, où nous allions toutes les deux pour la première fois!

L'image est directement issue de leur site.

Là-bas, on y trouve plein de jolis objets, des bijoux, des trucs de déco qui servent à rien mais c'est de la déco, plein de sortes de lipbalms (autrement dit, baumes à lèvres), des fausses cassettes audio qui sont en fait des dévidoirs à scotch, enfin que des trucs qui changent la vie et qui font que je meurs d'envie d'y retourner parce que j'ai été très raisonnable (c'est la faute des Assedic qui sont trop longs à valider mon dossier parce que j'avais un papier en trop dedans à faire annuler en tout cas ils sont chiants en même temps c'est mieux parce que j'ai vraiment trop de trucs qui servent à rien chez moi trop de trucs tout court je dirais).

Et puis on est allé aussi à Born Bad, une boutique où ils ont plein de trucs avec des têtes de mort, et même des barettes pour les cheveux qui représentent... des haches dégoulinantes de sang ! En bref, que des choses rigolotes, avec aussi de jolis vêtements qui font très pin-up pour les filles, et rock'n rolleux pour les garçons (on n'oublie pas la gomina).

Et pour terminer cette virée shopping, passage obligé par Les Fleurs où je retournerai aussi pour m'acheter un bel agenda que je n'ai pas acheté vu que j'étais raisonnable (les Assédic, gna gna gna). Et puis j'achèterai aussi tout le magasin pendant qu'on y sera.

Comme ça Siro aura vu un bel échantillon des boutiques qui font craquer les filles et leur porte-monnaie.

Et puis voilà, pour se récompenser de tous nos efforts, direction Cupcakes and Co pour boire un chocolat chaud vraiment très très bon, et puis, hop, tant qu'on y est, un cupcake pardi! Chocolat/marron pour l'une, et à la carotte pour l'autre. Miam !

Encore un endroit où il faudra retourner pour goûter (au moins) toutes les recettes !

En tout cas, c'était vraiment un chouette aprem ! Merci Siro !

Un dimanche créatif

Certes, on est mercredi. Mais grâce à ma trouvaille créative de dimanche, j'ai renoué avec l'enfance.

Comme ça serait trop simple de plier ça en deux lignes, donc je vais en faire un roman. Ou pas.

Dimanche, il y avait le Salon Créations et Savoir-faire. J'y suis allée avec Mademoiselle Cococerise grâce à Elodie du Nuage des filles. Ouh la ça fait beaucoup de liens en deux phrases. Comme on aime bien bricoler, en général, on aime bien ce genre de salon. Où il y a plein de nouvelles idées, de nouveaux trucs à bricoler. Et plein de trucs à acheter du coup.

Ben en fait non. Beaucoup de patchwork, et de tissu pour du coup. Beaucoup beaucoup beaucoup de stands de scrapbooking. Moi évidemment j'avais envie de tricot. Avec 3 stands qui vendaient tous de la laine très très cher, j'étais pas servie. Du coup j'étais frustrée. Voilà pourquoi j'ai acheté ça :
Comme le nom sur la photo l'indique ce sont des "pom-pom makers". Eh oui! Des gadgets pour fabriquer des pompons ! Plus besoin du carton en rond troué pour faire des pompons. On s'oriente du côté du bricolage technologique ! En bref, c'était de l'achat utile et pas du tout futile...

Heureusement, pour compenser le manque d'originalité au niveau des stands, Elodie avait organisé un "troc de blogueuses créatives", ce qui m'a permis de rencontrer Diane, à qui j'ai troqué un très beau collier en laine à hibou contre une broche-fleur.



J'ai aussi fait la connaissance de Manou, qui fait également de très jolies créations pour enfants.

J'aurais bien aimé papoter avec celles qui sont arrivées plus tard, mais comme on n'avait pas fait le tour du salon, on voulait essayer de voir le reste. Bon, en fait je sais pas si c'était une bonne idée vu ce que j'ai dit plus haut mais ça je le savais pas encore.

Et pis après ça du coup, ben on est allé voir Hellboy II. Mais ça, c'est une autre histoire...

vendredi 7 novembre 2008

Où est Jean-Louis ?

Hier soir, un moment de pur émerveillement. J'ai vu le Cirque Invisible, au Théâtre du Rond-Point.

Cela faisait bien deux ans que je voulais le voir. Et sous l'impulsion d'une petite demoiselle, qui avait tout organisé de main de maître, la chose fut faite. Me connaissant, j'aurais encore laissé passer la date fatidique de la réservation, et, le spectacle étant complet, je me serais faite avoir par étourderie. Mais comme elle s'en est occupée, la question ne se pose pas.

C'est comme ça que j'ai pu découvrir. Et comprendre. Pourquoi on en disait tant de bien. La poésie. La féérie. La surprise. Et surtout, la simplicité virtuose. Cette façon de faire beaucoup d'effet avec peu de choses en somme.

C'est une des grandes caractéristiques du "nouveau cirque" (bon, plus vraiment nouveau, vu que le concept date, grâce à Jean-Baptiste Thierrée, des années 70) cette simplification du numéro. Vouloir faire beaucoup avec peu. Et surtout, y introduire une belle dose de poésie. On reste dans l'exploit, mais pas simplement pour en mettre plein les yeux. La dimension de rêve est très présente. On retrouve ça aussi avec le Cirque Plume, Johann le Guillerm et son Cirque Ici, le Cirque Eloise, et probablemment le Cirque du Soleil (que je n'ai pas encore vu car... trop cher).

Jean-Baptiste Thierrée et sa femme Victoria Chaplin parviennent à nous mener au delà de l'exploit. Ils réinterprètent les disciplines du cirque. Et parfois en esquivent, pour mieux incarner ces clowns. Ils m'ont fait rêver.

Et ces costumes merveilleux. Des trésors d'inventivité. A chaque changement, je me disais "Mais comment ça marche, comment fait-elle ?" Et si je comprenais, c'était une petite victoire sur mon savoir faire.

En fait, je me suis simplement dit "Ils sont merveilleux. Elle est merveilleuse. Il est merveilleux."
Ces mots n'ont pas quitté mon esprit. Et cette chance qu'ils ont eu de se trouver.

Alors merci Sabine de m'avoir fait découvrir ces artistes, et merci à eux.

Mais c'est malin, maintenant, je veux travailler pour eux.

Et puis aussi pour Johann le Guillerm, le Cirque Eloise, le Cirque du Soleil... Pfff. La liste est longue.

Séraphine Bond Musical

Alors ça serait l'histoire d'une peintre qui s'appellerait Séraphine. Elle vivrait au début du siècle et elle ferait croire à tout le monde que c'est une servante, alors qu'en fait, elle serait peintre. Enfin ça c'est ce que tout le monde croirait, alors qu'en fait, elle serait une espionne pour la reine d'Angleterre.

Elle saurait trop bien manier les armes à feu et elle saurait trop bien se battre contre les méchants qui ont les yeux fous.

Et tout ça, elle le ferait en chantant. Et en dansant.

jeudi 6 novembre 2008

C'est Noël

J'oubliais, mais depuis le 1er novembre, c'est déjà Noël par chez moi...

Photo de chez Parispectives

dimanche 2 novembre 2008

Comme un défi

Cette histoire est inspirée de faits réels... ou pas.

Par une froide nuit de plein automne, une fête. Miss Blondinette y accompagne sa copine Châtaigne, qui connaît les gentils organisateurs.

Blondinette, elle, ne connaît personne, du moins c'est ce qu'elle croit. Quelle n'est pas alors sa surprise quand elle retrouve un ancien Servant de l'auberge dans laquelle elle avait travaillé un an plus tôt, à la Capitale. Servant avec qui elle s'entendait bien à l'époque.

La surprise des retrouvailles passée, nos deux amis discutent et prennent des nouvelles, en prenant soin de profiter de la fête et des gens qui sont présents. Mais ils finissent toujours par revenir chercher la conversation avec l'autre, trop étonnés de l'incroyable hasard. Serait-ce un signe ? Se retrouver dans une contrée éloignée de la capitale ? Dans une fête où chacun ne connaît qu'une seule personne ?

Et de fil en aiguille, de discussion en discussion, Blondinette et Servant se retrouvent dehors, à poursuivre le fil de leur conversation. Mais Blondinette, frileuse, commence à le manifester.
"J'ai froid." dit-elle alors, pensant rentrer. Par une incompréhension peut-être trop évidente -après tout, Blondinette n'est-elle pas blonde justement- elle se retrouve dans les bras de Servant, sa bouche collée à la sienne. Finalement, les choses n'étant pas désagréables, elle se laisse entraîner dans ce tourbillon.

Sa raison finissant quand même par reprendre le dessus, elle le laisse là, le pauvre Servant, penaud, parce qu'elle a rendez vous dans une auberge de la ville d'à côté avec un de ses amis, et elle lui a promis qu'elle viendrait. Et une promesse est une promesse.

Mais dans quelle drôle d'aventure Blondinette s'est-elle encore embarquée?...