vendredi 31 août 2007

Quand on est en week end

Encore sur le chemin du retour du travail, cette chanson...


Nadasurf, Always Love

... dans les oreilles, encore un sourire sur les lèvres. Se dire que tout cela est très vrai, et essayer de s'en faire un crédo. Non pas que ça soit toujours possible, et non pas qu'on croit forcéement à la Bible et tout ce qui s'en suit, mais se dire qu'il y a toujours des enseignements bons à prendre. Partout.

Et surtout, accorder la seconde chance. Celle qui permet de se relever. Celle qui représente la main tendue. Croire en l'être humain. Essayer de rester optimiste. Même dans les moments difficiles.

Tout ça parti d'une simple chanson? Je ne crois pas. Certaines choses résident au fond de nous, il est des déclancheurs qui permettent de les voir. Vouloir être, et devenir quelqu'un de bon. Placer la barre haut. Ne pas se décevoir.

Et être heureuse parce que, pour l'instant, ça va.

mercredi 29 août 2007

Chanson du soir, espoir

C'est LE groupe que je ne me lasserai jamais d'écouter. Bon, je ne sais pas ce que ça sera dans 10 ans, mais j'en suis à 99% sûre. Et puis je pense que c'est le cas de plein d'autres gens partout dans le monde. Et c'est justifié. Eh oui. Les Beatles.


The Beatles, Michelle


The Beatles, Come Together


The Beatles, When I'm sixty four

Et pour finir...


The Beatles, Eleanor Rigby

Ce ne sont que des échantillons. Celle que je voulais vous mettre tout particulièrement, I've just seen a face. Mais je ne l'ai pas trouvée. Evidemment, je vous recommande vivement à peu près toute la discothèque des Beatles, et, encore une fois, les chansons que j'ai mises là ne sont que des échantillons, pas forcément mes préférées mais parmi. Je suis difficilement objective par rapport aux Beatles...

Quand on rentre du travail

Sortir et se dire qu'enfin la journée est terminée. Regarder le ciel bleu et sourire. Avoir un peu mal aux yeux à cause du soleil. Se rendre compte que sa paire de lunettes de soleil est là, juste dans le sac. Les mettre. Sourire encore plus. Se dire que quand même, c'est une chance d'avoir pris le sac avec les lunettes et pas celui avec le parapluie.

Et décider de remonter un peu les Champs Elysées. "La plus belle avenue du monde" bla bla bla. Je ne trouve pas. Mais bon. Ressentir ce plaisir de marcher au milieu des gens qui sont heureux d'être là. Se laisser gagner par la contagion. L'espace d'un instant oublier la tenue de pingouin que je porte.

Et arriver au métro. Et rentrer, de bonne humeur.

Quand on fait une soirée filles par hasard

J'étais partie pour faire un long post sur mes habitudes shoppesques (shoppingesques, shoppinguistiques???) et ces histoires d'achats compulsifs, bref, un billet pour que les garçons arrivent à mieux comprendre l'état d'esprit général des filles qui vont magasiner.

Sauf qu'en fait comme j'ai passé une bonne soirée avec ces demoiselles, ben je suis fatiguée et j'ai envie de dormir.

Mais comme je pense quand même à vous je vous donne une astuce pour démarrer la journée en beauté :


Village People, Macho Man

Avec ça vous devriez être en forme pour un moment. Attention, n'en abusez pas, et ne faites pas de mouvements trop brusques, cela peut nuire à votre propre santé.

Sinon les filles, on remet ça quand vous voulez!

dimanche 26 août 2007

Chanson du soir, bonsoir

Ca fait partie des chansons et des groupes que je retrouve en ce moment... Et vraiment je l'adore! Rien que pour ça il faut que je me remette au piano!


Queens of the Stone Age, Mosquito Song

Vous aimez?

vendredi 24 août 2007

Quand il est presque l'heure d'aller travailler

Trouvé lors de mes vagabondages netesques... (on ne se moque pas de mes mots inventés!)


V_WATER
envoyé par tudoempaz

Le genre de petite animation que j'aime bien. Et maintenant, il faudrait quand même que je me prépare pour aller travailler. Je ne veux pas y aller!

jeudi 23 août 2007

Quand il fait gris

Ca vous fait sûrement le même effet. Cet ennui qui vous gagne. Irrémédiablement. Etre au travail et n'avoir rien d'autre à faire que de regarder la pluie tomber. Se dire, que, même si elle tombe drue dehors, de l'intérieur elle semble être une douce musique, qui nous berce, et nous hypnotise presque. Devoir garder le sourire de circonstance. Apprendre à cacher l'ennui. Gérer le manque d'activité. Et ne pas se laisser gagner par le spleen surtout.

Il vient facilement quand on ne se sent pas à sa place. Et ça recommence. Ce sont des phases bien sûr. Mais ces jours-ci je ne me sens pas à ma place. Et je n'y suis pas. Mais est-ce que je me donne les moyens d'y être ?

Enfin, se changer les idées pendant la pause avec la lecture de ce livre, et repartir d'un meilleur pied.

L'extrait qui m'a fait sourire :
Malgré sa roue et son cri intolérable, le paon n'a aucune réalité. Plutôt qu'un animal, c'est un motif inventé par la miniature mongole et repris par les décorateurs 1900. Même à l'état sauvage - j'en avais vu des troupes entières sur les routes du Dekkan - il n'est pas crédible. Son vol lourd et rasant est un désastre. On a toujours l'impression qu'il est sur le point de s'empaler. A plein régime il s'élève à peine à hauteur de poitrine comme s'il ne pouvait pas quitter cette nature dans laquelle il s'est fourvoyé. On sent bien que sa véritable destinée est de couronner des pâtés géants d'où s'échappent des nains joueurs de vielle, en bonnets à grelots. Je mourrai sans comprendre que Linné l'ait admis dans sa classification...

Bon, en fait c'est assez pathétique finalement, mais je ne vais pas replonger ce soir...

mardi 21 août 2007

Chanson du soir, bonsoir

Ce soir, c'est Cake.


Cake, Friend is a four letter word (de l'album Fashion Nugget, vraiment trop bien)

Et cette chanson, ça faisait très longtemps que je ne l'avais pas écoutée, et puis l'album en général non plus, et je la trouve vraiment très belle... Friend is a four letter word, ou l'art de tourner autour du pot pendant tout une chanson, et d'avoir envie de la ré-écouter après!

dimanche 19 août 2007

Chanson du jour, bonjour

La BO du film The Bubble passe en boucle chez moi, et ma préférée d'aujourd'hui (pas tous les jours la même sur cette BO vraiment très bien) est celle-ci :


Belle and Sebastian, Women's Realm

Et étrangement, la première fois que je l'ai entendue, elle m'a rappelée celle-ci:


Pierre Lapointe, Deux par deux rassemblés

Ça doit être les violons...

(oui je sais, je m'éclate avec les couleurs de radioblog... au moins c'est pop!)

Quand on râle

Mais quel temps pourri de... chiotte! J'en ai marre! Voilà, c'est fait, c'était ma minute râleuse (mais je suis restée à peu près polie).

samedi 18 août 2007

Quand on veut passer un message

Sabine, je suis une copieuse, j'espère que tu ne m'en veux pas, je t'ai pris le truc de la liste de lecture... Je trouvais ça bien chez toi, voilà, je l'ai fait!

Quand on va pour la première fois chez Ladurée

Journée rigolote hier. Je suis allée voir l'expo des Mouches, au muséum d'histoire naturelle, et... C'était pas terrible (à chaque fois que je dis ça je repense à la pub, ah, le pouvoir des médias!!). Donc on apprend quelques trucs sur les mouches, en fait beaucoup même si on s'en donne la peine, mais c'est pas fait de manière à ce qu'on ait envie de se donner la peine. Vous voyez la nuance ? Ah si dans un genre un peu cradouille, on apprend que l'asticothérapie (oui oui, vous lisez bien ce que j'ai écrit) est en phase de revenir dans notre médecine, à cause de la résistance qui apparaît face à certains antibiotiques. Du coup, pour soigner les plaies graves, et se faire manger les tissus en décomposition, on aura bientôt des petits asticots qui se dévoueront à leur tâche. Ça promet!

Petit tour aussi dans la grande galerie de l'évolution, où on peut voir plein plein d'animaux empaillés, d'insectes épinglés, et, au dernier étage, les animaux en voie de disparition ou disparus. En l'occurrence, quand ils sont disparus, on peut voir les derniers spécimens de l'espèce, morts donc. Je pense là précisément à une sorte de cheval qui était dans l'animalerie personnelle de Louis XVI. Il a été empaillé en 1794 ! Et il est encore assez bien conservé ! J'ai trouvé ça fou !

Et après cette heure et demie culturelle, il faut bien reprendre des forces. Nous sommes donc allées chez Ladurée. Ce lieu semble être l'endroit des goûters entre copines par excellence. Leur carte du sucré est... alléchante. Il est très difficile de faire son choix. Et quand on l'a fait, le suspense est encore de taille. Moi, par exemple, j'ai eu ça :


"Pas mal" me direz-vous. Et vous aurez raison. Pas mal et même mieux que ça. Un Saint-Honoré à la rose. Mais moi au départ je voulais un Saint-Honoré fraise-coco. Seulement il n'y en avait plus. Alors bon, on prend ce qu'il y a!... Et c'était vraiment très bon. Je crois que, même si c'est cher, ça peut valoir le coup de temps en temps. Vous retrouvez des ami(e)s que vous n'avez pas vu(e)s depuis longtemps, votre mère vient sur Paris, il fait froid, grisouille, vous avez le moral dans les chaussettes. C'est un endroit pour vous. Ah et Angelina aussi pendant qu'on y est. Il faudra que j'y retourne une fois là-bas.

Tout ça pour dire que mon baptême de Ladurée s'est bien passé, maintenant il faudra que je goûte les macarons!

vendredi 17 août 2007

Quand on cherche 7 mots

Allez nOsi, je vais répondre à ta chaîne, parce qu'elle me plaît bien, mais par contre je serai pas une grande diffuseuse, je connais pas beaucoup de monde, désolée!

J'ai toujours aimé les mots. Un peu comme Pennac le raconte dans ses livres. Ou Erik Orsenna dans La Grammaire est une chanson douce, et Les Chevaliers du subjonctif. J'aime les mots sans distinction de sexe, de langue, de nature. Bref, j'aime les mots. Mais particulièrement, j'aime les mots français. Alors, nOsi, je sais pas si dans ta chaîne on choisit les mots par le sens, mais moi, je vais donner les mots que j'aime mâchouiller, écouter, débusquer. Des mots désuets parfois mais qui sont si propres à la langue de Molière...

* Saperlipopette : il rebondit celui-là, c'est définitivement mon mot préféré, quand on le dit on sourit, c'est imparable (les mots en -ette en général ont cet effet-là, regardez : fillette, pirouette, girouette, ils sonnent comme une comptine)

* Gargantuesque ou pharaonique : rien qu'en les prononçant on s'imagine quelque chose d'ENORME, prêt à nous écraser, et en même temps, les utiliser dans la vie courante fait rire les gens, allez savoir pourquoi

* Désuet : ben oui, celui-là aussi je l'aime bien, il fait aussi petit, vieillot et poussiéreux que ce qu'il véhicule

* Neige : vous vous rappelez au lycée, vos premières études sémantiques, et cette histoire d'Inuits qui ont 46 mots pour définir la neige alors qu'on s'arrête à un seul? eh bien la neige me fait penser à cette infinité de possibilités cachée sous un mot tout simple

* Libellule : un peu d'espace, de liberté, et une belle sonorité aussi

* Marshmallow : plus moelleux que son homologue français le chamallow, s'il est vite écoeurant, sa prononciation est, elle, un délice

* Lecture : le plaisir qui nous fait trouver tous ces mots, mais qui fait oublier de noter ceux qu'on aime, avec la bonne surprise de retomber sur eux par hasard (hasard j'aime beaucoup comme mot aussi), parfois

Voilà! Je n'ai pas trop transgressé? Et puis sinon c'est pas si grave?
Pour la suite, je le passe à Marionnette qui mâchouille les mots autant que moi, Ophélie, Celinette si elle passe par ici, et monsieur Ndj qui aime bien les mots aussi.

lundi 13 août 2007

Ratatouille


Après une journée bien remplie, courir pour aller au cinéma en prenant soin de ne pas perdre sa grand-mère en route, pour l'emmener voir Ratatouille.

Et là, comme ça n'arrive pas souvent, une vraie bonne surprise. De celles qui vous confirment les petits plaisirs cinématographiques. Il y avait déjà une bonne critique, mais bon, parfois, ça ne veut rien dire. On les connaît les critiques qui nous font voir un film saoudien sans paroles en nous disant que c'est le meilleur film de l'année. Mais bon, pour Ratatouille, c'était bien visé.

Le postulat de base ? Un rat, Rémi, porte un lourd fardeau depuis toujours, il a un odorat et un goût très développés. Seulement, ça ne lui sert pas à grand-chose, vu que, ben oui, c'est un rat. C'est là le départ d'une épopée à travers les égoûts, les rues, les toits parisiens. Avec en cours de route un questionnement sur la difficulté de faire cohabiter deux facettes assez opposées dans une même personne (ou rat dans le cas présent).

Pourquoi ça fonctionne? Le scénario est parfaitement huilé, on ne s'ennuie pas un seul instant. Les images sont époustouflantes et on peut apprécier à sa juste valeur le travail effectué par tous ces animateurs 3D. D'ailleurs, je ne sais pas si vous aussi ça cous fait ça, mais à chaque fois que je vais voir un film de chez Pixar, je me fais la même reflexion... "Mais comment font-ils?" Et de fois en fois, j'ai toujours cette même agréable surprise, tout en constatant les énormes progrès effectués. Et il y a aussi ces petites perles, ces scènes qui font rire, sans être de l'humour bien gras ou autre. Non, c'est du drôle efficace. Du rire par le mouvement. Presque du Charlie Chaplin.

Et, il n'a pas à dire, ça fait du bien de rire sans arrière-pensée, sans second degré.

samedi 11 août 2007

Quand on va à une soirée filles

Il y a d'abord le processus de préparation du repas. Plein de filles en cuisine qui disent : "Et maintenant je fais quoi?"

Puis le repas avec des trucs de fille à boire, notamment du taillefine fizz et du jus fraise-framboise. Des petits légumes à grignoter l'air de rien. Des petits feuilletés.

Et déjà, des filles ensemble, ça rigole souvent.

Ne manque plus que LE film de filles, et ce soir c'était... Coup de foudre à Bollywood, autrement dit Bride and Prejudice! Comédie musicale à l'indienne, sucrée et colorée comme il faut!



Arrosez le tout d'une bonne glace "Cookie Dough" et de nombreux fous rires, sans oublier des mouvements continuels des bras sur la musique indienne, et vous aurez une soirée filles réussie à souhait!

vendredi 10 août 2007

Ah ! Paris !

Lors d'une charmante balade dans Montmartre ce soir... Un poète vient et déclame ses vers (improvisés?) à mon attention. J'aurais été capable de déchiffrer ce qu'il m'a écrit, je vous l'aurais retranscrit tout de suite, mais c'est assez illisible!

Enfin, Paris me surprendra toujours! J'aime bien tomber sur des clichés quand ils sont assez inattendus. Bon, j'avoue, Montmartre véhicule sa propre dose de clichés, mais, depuis que je suis là, je n'étais jamais tombée sur lui.

Et vous, vous l'avez déjà rencontré le poète barbu au chapeau de Montmartre?

mercredi 8 août 2007

La fille coupée en deux


Je ne sais pas si vous avez déjà vu La Fleur du mal, de Claude Chabrol. Si ce film là vous avait plu, alors il y a de fortes chances pour que vous aimiez La Fille coupée en deux.

Comme dans le premier, on ressort de ce film avec un certain malaise, mais bon, en même temps, rien d'étonnant, c'est du Chabrol. Certes il y a Ludivine Sagnier, que beaucoup de gens (de filles surtout) ne peuvent pas, ou difficilement, supporter. Je pense vraiment qu'on peut passer outre cela, parce qu'elle est bien dans ce film. Très Ludivine à un ou deux moments, mais à part ça, très bien.

Mais donc, La Fille coupée en deux. C'est une histoire assez simple mais très compliquée en somme : une fille (Sagnier) est partagée entre deux hommes, le sage et brillant Charles Saint-Denis (Berléand), ecrivain à succès, et le jeune et riche, et fougueux Paul (Magimel, vraiment très bien). Elle aime le premier, est aimée du second. Et là Chabrol s'en mêle. Ou plutôt y mêle les familles, épouses, frères, soeurs, amis, amant(e)s, avec des personnages tous plus ou moins tordus, et parfois souffrant de graves problèmes psychologiques. Il règle encore une fois son compte à la riche bourgeoisie (comme dans La Fleur du mal), tout en prenant soin de filmer la vie, la ville, d'une façon très vivante.

Bref, sans vous dévoiler les entourloupes du film, je vous le conseille vivement, mais soyez prêts à sortir mal à l'aise du film. Pas mal mal non. Juste un peu. Juste ce qu'il faut. Et puis profitez-en, ça se passe à Lyon, pour les parisiens c'est déjà un dépaysement!

mardi 7 août 2007

Très jaune décidément

J'ai piqué ce test chez Kyupi, que je viens de découvrir, et dont j'aime beaucoup le blog.

Et donc, ma couleur serait... le Jaune! Et il y a des trucs où je me retrouve. Bon, pas partout, mais on doit toujours mettre ce genre de tests à sa sauce non? Mais c'est marrant, parce qu'il y a 10 jours, j'étais "La fille en jaune"...

What color is your soul painted?

Yellow

Your soul is painted the color yellow, which embodies the characteristics of joy, happiness, optimism, idealism, gold, hope, liberalism, sociability, friendship, death, courage, intellect, confidence, communication, travel, movement, attraction, persuasion, and charm. Yellow is the color of the element Air, and symbolizes the sun, grain, and the power of thought.

Personality Test Results

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De l'art de passer des soirées surréalistes

Elle le racontera sans doute mieux que moi, mais c'est fou comme une soirée peut basculer dans le surréalisme le plus total parfois. Et insidieusement.

La scène se passe dans un Quick, après un ciné (Dialogue avec mon jardinier, gentil mais longuet). Cela commence par une totale incompréhension de la serveuse qui ne me sert que le sandwich alors que je lui ai dit 3 fois au moins que je voulait le menu. Puis cet alignement parfait de nous 3 au moment de payer, comme à des guichets SNCF.

Et à l'étage, tout bascule. Un décor tout droit sorti d'une boîte de jeux, des lumières vert et jaune fluo, un peu de rouge. Un sol avec du carrelage formant des lignes noires et blanches, complètement hypnotisant. Une musique digne d'un western playmobil. Ou peut être d'un orgue de barbarie. Un orgue de barbarie jouant de la musique country, on aurait tout entendu!

Et le clou... Les gens. Un jackie (comment l'appeler autrement?). Un homme ayant l'air d'aimer le tuning, habillé avec un marcel moulant, un pantalon militaire, et des rangers bien sûr, le tout assorti d'une magnifique coupe, rasé de près sur les cotés, plus long sur le haut. Et surtout, le serveur. Ou nettoyeur. Ou tourneur en rond. Qui a dû faire plus d'une quinzaine de tours de quelques tables mises côte à côte.

Tout cela se traduisant sur nous par un air hébété après l'avoir vu passer 4 ou 5 fois, et un début de fou rire quand on essaie de raconter une histoire. Et la promesse de tout raconter dans un billet quand on rentre.

Pour moi c'est fait. A toi Sabine!