jeudi 18 juin 2009

Dana Boulé

Je continue avec ma musique, puisque j'en écoute beaucoup quand je couds...



Elle s'appelle Dana Boulé, c'est une Américaine, de New-York, venue s'installer à Paris avec son mari. Elle a des chansons très variées. Certaines calmes qui vous emportent, et d'autres beaucoup plus pêchues. Et elle est très marrante en concert. Elle tient absolument à parler français ce qui peut donner des choses... intéressantes.

mercredi 17 juin 2009

April March

Aujourd'hui... April March. J'aime bien ça donne la pêche ça aussi ! Merci à celui qui m'a fait découvrir...
free music

lundi 15 juin 2009

Hoyaka suite

Je sais que je vais avoir besoin de courage pour cette semaine. J'ai donc repensé à cette chanson de 17 Hippies, Hoyaka suite, la partie Hoyaka tout court en fait.

Ça donne la pêche !

free music


Bonne nuit :)

samedi 13 juin 2009

Y'a des trucs...

Le rhum arrangé c'est bon. C'est même très bon.

Mais alors... Qu'est ce que ça peut être traître !

Je vous passe le nombre de corrections que j'ai dû faire rien que pour écrire ces 3 lignes...

vendredi 12 juin 2009

Frais et facile

En ce moment, j'essaie de manger des choses faites maison. Il en va de même pour le dessert. Un fruit. La banane revient facilement parce qu'elle a la texture pour. Mais pour quoi ?

Le milkshake. Mais attention. La version épurée du milkshake.

Plusieurs tests :
- banane et lait de riz : frais, léger, un petit goût derrière la banane, de riz dans doute... miam !
- banane et lait de soja : idem, un peu plus "costaud" que le lait de riz, mais bon aussi
- banane, pomme et lait de soja : ça marche moins, la pomme a une texture qui se prête moins aux milkshakes, mais bon, on finit quand même son verre
- banane, pêche et lait de soja : alors là, très bon, la pêche apporte une douceur supplémentaire
- banane, lait et épices indiennes : une excuse pour goûter mon mélange "milk massala" ramené d'Inde il y a longtemps, on sent bien le goût du milkshake de départ, mais avec, par-dessus, ce goût d'ailleurs... Le safran joue beaucoup. C'est étonnant d'ailleurs, on imagine souvent le safran en salé, mais là, c'est très bon.

Voilà. Pas de photo pour ça, le milkshake est toujours bu avant que j'y pense !

Ces histoires qu'on nous raconte #8

Le mec de la tombe d'à côté, de Katarina Mazetti


Pour poser l'histoire de départ, il suffit d'imaginer. Vous êtes tranquillement sur la tombe de votre mari, comme presque tout les jours. A côté d'une tombe grotesque et surchargée. De temps en temps vous croisez l'homme qui vient se recueillir sur la tombe d'à côté. Un gars un peu rustre qui vient arranger les fleurs en même temps. Les mains pleines de terre. Une casquette affreuse. Et pourtant... Un sourire et la magie opère.

Voilà. Un livre pour raconter l'histoire de Benny et Désirée. Benny le paysan un peu plouc et Désirée la bibliothécaire cultivée un peu snob. Ils évoluent dans deux mondes différents et pourtant l'attraction est toujours là.

Cela pourrait ressembler à n'importe quel roman à l'eau de rose, mais ce n'est pas le cas. Une écriture franche et crue, simple et efficace. Pas de chichis là-dedans. S'il faut foncer la tête baissée, fonçons !

Et s'il faut lire ce livre... Lisons !

samedi 6 juin 2009

Jango Fairtrade, à suivre

Ce qui est chouette quand on est costumière, c'est que l'on a des copines qui sont de la partie, et d'autres qui créent leur marque de vêtements. Dans l'optique qu'elles ont toujours voulu suivre.

Une marque équitable par exemple. Qui s'appelle Jango Fairtrade. Avec une belle histoire de gens, de rencontre, mais les deux personnes qui en sont à l'origine, Joane et Pierre, sauraient mieux vous raconter que moi.

En attendant, les photos parlent d'elles-mêmes :

La robe Charleston en coton (elle est arrivée chez moi)

La Jupette et le top Dentelle (hum... chez moi aussi celui-ci)

La robe Dodo

Tous ces vêtements sont donc fabriqués selon le principe du commerce équitable, les prochaines collections devraient être en tissus biologiques, pour le coton au moins. Et les prix défient toute compétion : 40 euros pour la robe en coton, 28 euros pour le top en coton aussi, 3 euros pour un ruban fleuri à mettre dans les cheveux... Et d'autres prix encore bas que je ne connais pas parce que j'ai essayé d'être raisonnable.

Pour l'instant ces vêtements ne sont disponibles que dans des ventes privées, mais dès que j'entends parler d'un site, ou d'un dépôt dans une boutique, je vous donne plus d'infos.

Bonne fin de soirée !

vendredi 5 juin 2009

Bon appétit bien sûr !

Ne lisez pas ce billet si vous venez de manger.

En flânant au gré des blogs, je me suis retrouvée sur un site de cuisine, histoire de changer, issu d'un magazine du même nom : Gourmet.

Sur ce site un article attire mon oeil, moi en période "je fais attention à ce que je mange parce que j'ai dépassé un peu les bornes ces derniers temps" et là un sujet sur la malbouffe, un mouvement pro-malbouffe en fait.

La malbouffe j'aime, à doses mesurées, un kébab une fois dans l'année (autant qu'il soit bon) et macdo ou quick un peu plus souvent. Mais j'aime aussi bien manger... Fille de cuistot tu es, fille de cuistot tu resteras. Et bien manger amène souvent à une phase "je fais attention blablabla". Bref, comme dans la vie, en nourriture, on traverse des périodes.

Dans une autre période, certaines des images que j'ai trouvées ici, un lien donné dans l'article, m'auraient peut-être plu. Auraient réveillé mon côté malbouffe. Mais là non. Pas du tout. Je me demande simplement comment on peut ingurgiter des trucs pareils.

Regardez plutôt.

Ça c'est un "Hawaiian Meatloaf Sandwich"


Et ça une barquette de "In-N-Out Animal Style French Fries"


Ou encore le "Deep Fried Cheeseburger On-A-Stick"

Bref, le site s'appelle This is why you're fat, on comprend pourquoi. Les défenseurs de la malbouffe ont bien des partisans, des partisans qui comprennent le second degré même, avec un titre pareil. Rappelez moi dans quelque temps, je vous rejoindrai, je vais bien vivre au pays de la poutine après tout.

Mais là, c'est trop pour moi.

Edit de quelques minutes après : si vous allez plus loin dans le site... C'est pire après. Largement pire. Genre des trucs sucrés salés gras qui vous font vous dire "mais comment osent-ils faire des trucs pareils ???"

mercredi 3 juin 2009

Ces histoires qu'on nous raconte #7

Je vais carrément tricher, vu que je ne me tiens pas du tout à ce que je m'étais fixé... A savoir, vous parler d'un livre tous les vendredis.

En soi, ce n'est pas grave, puisque je n'ai pas le rythme de lecture adéquat en ce moment, mais je tenais à vous faire partager celui que je viens de finir tout à l'heure, en rentrant chez moi en RER (plus pratique que le métro pour lire, malgré l'odeur).

Le sang du monde, de Catherine Clément

Ce livre est la suite du Voyage de Théo, de la même auteure. Je ne l'ai pas lu, je ne vous en parlerai donc pas, mais l'histoire y fait beaucoup écho. Rencontres de personnages introduits dans le premier livre, réflexions des personnages sur ce fameux "voyage".

Et un voyage ici, en voilà un. Théo, devenu médecin, et presque violemment écologiste, décide de parcourir le monde avec sa tante Marthe, à la fois pour la soigner, mais aussi pour alimenter un dossier qu'il prépare pour bénéficier d'une bourse pour l'environnement. A travers cette quête, d'informations, de soi, de l'amour aussi, se dessine un voyage initiatique. Où tout est en jeu. L'écologie, la protection de l'environnement, la disparition des ressources naturelles, l'avancée des déserts, la mer d'Aral qui n'est plus qu'un cimetière. Mais aussi les relations entre les peuples. Les points de vue de ceux qui se sont fait asservir, et qui se reconstruisent une identité propre, le point de vue de ces occidentaux qui essaient de remettre le monde un peu dans l'ordre, mais sans se rendre vraiment compte qu'en imposant leur façon de faire aux autres, ils les asservissent... Même si c'est "pour leur bien et celui de la planète".

Un livre riche, qu'il est parfois difficile de suivre. Qui donne envie d'en savoir un peu plus sur l'environnement et l'écologie, pour ne plus s'arrêter seulement à "éteindre les lumières quand on sort de la pièce" et "trier ses ordures". Mais aussi sur l'histoire de ces fameux peuples, au moment où ils se sont réaproprié leur identité. En Inde, dans le Nunavut.

Et des personnages attachants. Humains, bornés, énervants. Mais touchants. Et touchés, eux aussi.