Au menu en cette toute fin de vendredi (oui on est samedi mais pour moi c'est encore vendredi) :
Un des livres que j'ai le plus lu de ma vie. Peut-être plus d'une dizaine de fois. Je suis une inconditionnelle de Roald Dahl. En fait, pas une vraie de vraie, je n'ai pas lu tous ses livres. Un certain nombre, mais pas tous. Mais son univers est assez merveilleux. D'où peut-on imaginer que les vraies sorcières n'ont pas d'orteils ? Il invente aussi des pays où les géants boivent de la Framboisine et à la place de bulles qui iraient vers le haut dans cette boisson, elles iraient vers le bas pour vous faire péter et bondir quand vous la buvez.
C'est décalé, ça développe un imaginaire très fort, et c'est encore drôle chez les adultes (enfin les jeunes adultes, mais je sais déjà que ça passera des générations si j'ai des enfants un jour). Je n'ai découvert Charlie et la chocolaterie que très récemment, et lu en VO ça a quelque chose de magique aussi.
Mais revenons-en à Sacrées Sorcières. Ce livre, qu'a-t-il de plus finalement ? Ces personnages de contes et légendes, les sorcières, s'inscrivent dans la réalité, le quotidien. Elles sont caissières, travaillent dans une banque, sont institutrices même. Le mal est parmi nous. On ne peut pas les distinguer des autres femmes sauf si on a les indices nécessaires. Et surtout... Il faut les empêcher d'agir et d'exécuter leur plan diabolique...
Pour cette histoire, pour l'écriture de Roald Dahl et pour les dessins de Quentin Blake, il faut le lire, surtout si vous ne l'avez jamais fait. Mais ça s'applique aussi à ses autres livres !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire